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VIP-Blog de koralik
Kora-52251@hotmail.com

  • 96 articles publiés
  • 11 commentaires postés
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  • Créé le : 17/05/2006 20:36
    Modifié : 03/10/2009 00:09

    Fille (26 ans)
    Origine : 77
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    ((Pulsations))

    27/06/2007 09:52



    --[PILE]-- Kelen

    Dans ses yeux j'existais...

    Je devenais enfin visible. Visible...
    Fuyant inlassablement le contact, je redoutais la confrontation à mon image.
    A un moment donné, il fallait se jeter.

    Foncer dans l'inconnu, s'y confronter.
    J'appelais l'indépendance, me libérant de mes chaînes familiales...
    Cherchant à fuir, les peurs grandissaient en moi...
    Solitude insupportable...
    Pourquoi tant de transparence... Pourquoi je ne comptais pour personne?

    A travers lui, j'ai cru.
    Pour lui, je me suis mise à penser à moi
    Cru que je pouvais apporter quelque chose à quelqu'un, produire du bonheur... pour moi et les autres...
    A force de se dire que l'on est rien on finit par s'oublier...
    A ce moment là, il m'a simplement rappelé que j'étais.

    Bouffée d'oxygène...prendre possession de mon corps, de mon coeur, de ma vie.Se projeter pour la première fois... Prendre du plaisir... le donner.
    Sentir son coeur battre, sentir le manque...
    D'expériences en expériences, je grandissais.

    C'est en regardant ses yeux que j'ai appris à aimer...
    C'est dans ses bras que la femme que je devenais s'exprimait..
    C'est en portant son enfant que de fille à mère je suis passée...

    Je voulais construire ... J'ai construit sur du sable...

    ========================================================

    --[FACE]-- Maël

    Dis-moi, m’entend tu ?
    Attend, je vais me rapprocher.
    Tu m’entend mieux là ?
    Ces rites de passages, il ne faut pas les regretter. Jamais.
    Ces rites de passages, toujours de neuf il faut en chercher.
    Ces rites de passages, se sont eux qui nous font évoluer.
    Ces rites de passages, se sont eux qui nous apprennent à éprouver.
    Ces rites de passage :
    Entre 9 et 15 : l’âge de la marche.
    Entre 12 et 18 mois : l’âge du premier papa et maman
    A 3 ans : l’école maternelle
    A 6 ans : la première petite copine
    De 9 à 14 ans : la puberté
    17 ans la première relation sexuelle
    28.6 : âge moyen du mariage
    1.9 : nombre d’enfant par femme
    Les échecs ? Pas d’âge.
    L’envie de ne plus jamais recommencer : hors d’âge.
    Les expériences d’un soir : tout le temps
    Les sacrifices de raison : beaucoup trop
    Un rite de passage c’est un cap après lequel il est sensé se produire un évènement si transcendant que nul retour en arrière n’est plus possible.
    Un rite de passage doit pouvoir imposer à vous une décision que vous n’auriez pas prise autrement.
    Un rite de passage c’est la découverte d’autres sensations.
    Un rite de passage c’est l’alpha est l’oméga.
    Mais jamais il n’est privatif, il peut repousser, borner, aveugler, pour plus ou moins longtemps mais tôt ou tard un autre rite de passage surviendra et rééquilibra ce que le précèdent à défait pour le rendre de nouveau possible et permettre de se retourner vers ce qui est passé sous le pont depuis.
    Un rite de passage n’est pas une porte close jusqu’à l’oubli.
    Des rites de passages il y en a toujours de nouveaux.





    ((Voler de ses propres ailes))

    26/06/2007 19:54



    --[PILE]-- Kelen

    A force de vouloir s'enfuir, on finit par atteindre son but et presque à regretter de l'avoir atteint.

    Peur de se retrouver comme à sept ans, avec tout à (re)construire.
    Et puis finalement, lorsque les ailes se déploient, c'est d'autres horizons qui se dessinent...

    Mais toujours ce décalage. Pourquoi ainsi? pourquoi si tôt?
    A force de se comparer aux autres, on se sent anormal...

    Culpabilité... Et si j'y étais pour quelque chose?
    Non, finalement c'est eux qui me font honte.
    Je suis simplement une victime consentante.

    Mais maintenant que je me suis jetée dans les airs, qui viendra me rattraper si je m'éclate au sol?

    Mieux vaut un choc violent ou un aterrisage en douceur dans l'eau, quitte à se noyer progressivement?

    Moi j'ai choisi un mélange des deux... s'éclater au sol, puis se jeter dans la Seine...

    ========================================================

     
    --[FACE]-- Maël

    A vouloir tout fuir on finit par réussir et a avoir tout quitté.
    Je suis un ange, un ange blond aux yeux bleus qui passe dans vos vies.
    Attention, après moi, la mort.
    Je suis coriace.
    Et pourtant cet ange brun kamikaze, qui fonçait en piqué vers le sol…
    Je vous assure c’était bien un ange.
    Je lui aie demandé pourquoi. Elle m’a répondu je ne mérite pas.
    Elle fuyait, mais qu’est ce qu’elle fuyait ?
    J’ai su la rattraper, ensemble nous avons volé à la même vitesse de croisière.
    Je voyais ses ailes se crisper, à chaque battement, elle avait dépassé le stade de l’épuisement. Depuis combien de temps persistait elle en ce vol plané ?
    Vingt ans, je crois. Et elle est si jeune…
    Pourquoi ne pas atterrir alors qu’une à une ses plumes se désagrègent.
    La peur que même le paradis ne soit pas assez bien, m’a-t-elle répondu.
    Et qu’alors si même ça ne pouvait le seoir, il ne lui resterais aucun espoir.
    De monde en monde on a voyagé, elle ne voulait pas de moi et je me suis entêté.
    Avant même qu’il  n’y aie la moindre pensée entre nous, nous n’étions déjà plus sur la même ligne de vie. Pourtant on aller au même endroit et ensemble. Alors que manquait il à notre envolée terrible ?
    Nous n’avions même pas  eue droit avoir le temps de notre côté.
    Elle était la victime de ces oasis imparfaite ou ne nous pouvions nous arrêter. Parce que nous on savais…
    Mais on le voulait bien il aurait suffit de s’arrêter de battre des ailes.
    Mais nous étions deux petites fusées…
    Jusqu’à ce que dans sa chute elle ne me laisse être entraîné et m’empêche de plonger pour la sauver.
    Je ne peux sauver personne alors que si peu me sont chers…
    J’aurais voulu être là, je n’y aie pas été…





    ((Coma éthylique))

    26/06/2007 19:53



    --[PILE]-- Kelen

    Lorsque les degrés s'élèvent, les esprits s'échauffent. Agacement mutuel, énervement qui monte crescendo. Et puis la perte de contrôle, violente, inattendue.


    Mieux vaut ne pas être dans les parages... mieux vaut ne pas aller au front.
    Parfois, la prudence est salutaire... Histoire d'éviter de prendre un mauvais coup... ou d'en donner un.

    On diabolise l'elixir rougeâtre tout en se disant que ce n'est qu'un moyen... le bras armé de leur haine.
    A quoi bon verser dans l'évier les litres?
    Le rouge restera de toutes façon comme une blessure ouverte, une plaie sanguinolente, une muqueuse abîmée...

    Inutile de haïr le breuvage, je préfère haïr celui qui en a abusé.
    Et aujourd'hui, je me réconcilie avec ces douces liqueurs qui me permettent de coucher sur le papier mes douleurs et mes rancoeurs.

    Un juste retour des choses...

    ========================================================

    --[FACE]-- Maël

    Alcool, arme à feu, jeux vidéo violent, satanisme, souvent on les montre du doigts.
    Où comment l’instrument devient le coupable.
    J’ai acheté une arme à feu, j’ai bu de l’alcool, j’aime le satanisme et je trouve refuge dans les jeux vidéo.
    Est-ce que ça me rend fou dangereux ?
    Oui j’ai tué dirons certains.
    Non, non et non.
    Le responsable c’est moi, moi et moi.
    Pas  ces choses.
    En outre ce n’étaient que des refuges, retirez les moi et vous me privez de tout.
    Quand on a rien se raccrocher à un mal et en être conscient se peut être suffisant.
    Dans notre esprit on viol et tue. Nous tous. Disaient t-il dans orange mécanique.
    Alors oui, mieux vaut tendre la joue. Coup après coup.
    C’est bien la seule leçon biblique que je retiendrais.
    Celle là et celle de faire couler le vin plutôt que le sang après la messe…





    ((Bouillonnement interne))

    26/06/2007 19:52



    --[PILE]-- Kelen

    Parfois, j'avais l'impression que tout se mélangeait dans mon esprit.

    Est ce que quand tout le monde est fou, on est sensés nous aussi le devenir?

    Je les observais se détruire jour après jour.
    J'attendais quelque chose. Un événement notable, une fin. Quelque chose tout simplement.
    Je craignais que cela ne s'arrête pas et qu'un jour moi, ma soeur ou mon frère on les arrête par nos propres moyens... Des couteaux menaçants, des portes claquées bruyamment, des tentatives de fuite... Nous aussi, nous devenions fous...

    Fou de ne pas être comme les autres... Fou de ne pas pouvoir parler. Fou de devoir paraitre autre que ce que nous étions...
    Et puis à force de faire semblant, on essayait de se convaincre qe c'était partout pareil...
    Je rêvais du foyer d'enfants qui était tout à coté de ma maison... Eux aux moins ne vivaient plus ça...
    Qu'est ce qui serait le plus dur au fond? Rester avec ou vivre sans?

    Quoiqu'il en était... ils nous prenaient notre enfance, nos rêves, nos illusions mais jamais ils n'auraient de prise sur nos coeurs et nos esprits...
    Je me disais juste que ca, ils ne pourraient pas le gâcher.

    Salutaire indépendance psychique...

    ========================================================

    --[PILE]-- Maël

    « Tu es perdu, tu n’es qu’un fou, je t’aurais, je te raterais pas » ces mots résonnent en moi. Et auront à jamais un poids à part de tout autre jusqu’à la fin de ma vie. Ce furent ses dernier.
    Est-ce là folie ?
    Il se trouve que je suis trop impliqué sur ce sujet pour le dire.
    Mais je ne vois aucune folie en l’ultime acte d’amour.
    C’est de l’euthanasie.
    Et elle sera bientôt dépénalisée.
    Mais moi je l’aie vécu dans l’autre sens.
    J’étais celui à euthanasier.
    Comment en vouloir ?
    Un pétage de plomb n’excuse rien, même si on dit trop souvent « untel à péter les plomb » l’aire de dire,: « c’est terrible mais je compatie ».
    Mais parfois l’euthanasie peut feindre autre chose un suicide interposée. Sa propre demande de mort en fait.
    Vouloir mourir quand on pense qu’il y a juste rien après la mort, c’est quelque chose que l’on ne peut se résoudre à exprimer.
    On vit dans un monde où l’on choisit de votre naissance et de votre mort à votre place.
    Penser ainsi c’est voir la vie avec des questions que la plus part des adultes ne se posent jamais, si ce n’est le jour de l’extrême-onction.
    C’est un acte de foi, de courage en fait, c’est oser prendre une décision pour autre que pour soit.
    C’est oser agir en pensant à ce qui peut être véritablement mieux pour le long terme.
    C’est épargner des souffrances.
    Pour tout ça je ne lui en veut pas et m’en veux à moi.
    Le passage à l’acte est le moment où la psyché se libère de ses illusion qui filent directement surcharger les autres centres de nos émotions (ventre (haka) pour les japonais, tripes, cœur, cerveaux, hormones (pour les scientifique), méridiens, shakra…).




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